Le bec-en-sabot
Le bec-en-sabot, oiseau étrange et fascinant des zones humides africaines, contribue à la préservation des écosystèmes aquatiques en filtrant l’eau, soulignant l’importance de la conservation pour ces espèces inhabituelles.
Un curieux bec
Il est si farouche que les savants européens ne l’ont découvert qu’en 1850, à l’occasion des expéditions dans les immenses zones marécageuses de l’Afrique, aux sources du Nil. Vivant en zone humide, il se nourrit de poissons, mais aussi de serpents, de grenouilles, de jeunes varans ou crocodiles qu’il avale tout rond en draguant la vase avec son curieux bec.
C’est un animal qu’on voit rarement en captivité : Pairi Daiza a été le premier parc au monde à avoir obtenu, en 2008, l’éclosion de deux gros oisillons gris : Abou et Marqoub.
Les becs-en-sabot du Nil sont visibles à Pairi Daiza de mi-mai jusque septembre.
Le bec-en-sabot en bref
Individus restants
Poids moyen à l’âge adulte
Durée d'incubation
Fiche d’identité
- Nom : Bec-en-sabot
- Nom latin : Balaeniceps rex
- Origine : Afrique centrale, dans les lacs et marais à l’Est
- Statut IUCN : Vulnérable
- Cites : Annexe II
Les amis du bec-en-sabot
Les animaux suivants vivent aux côtés du bec-en-sabot dans le Parc.